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  • : LAMBERSART PASSIONNEMENT
  • : Blog de l'Equipe de la liste municipale majoritaire "Lambersart Passionnément".
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10 juillet 2011 7 10 /07 /juillet /2011 10:08

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6 juillet 2011 3 06 /07 /juillet /2011 04:30

Lambersart Passionnément, en cette période estivale, vous propose d’ouvrir quelques pages de l’histoire de Lambersart plus précisément, l'histoire du Colysée Royal.

Ce fut un éphémère grand parc d'attractions et de promenade de la fin du 18è siècle. Ce domaine fut aménagé par Edmond Ory à la fin du 19è siècle pour créer un nouveau quartier de "Lambersart-lès-Lille" près de l'hippodrome, entre Canteleu à l'ouest, Canon d'Or au nord, la Citadelle et la Ville de Lille à l'est et au sud.

Le nom de la Maison-folie de Lambersart nous en rappelle mémoire   

La naissance du Colysée Royal sur les bords de la Deûle

                                                           colysee royal

Le prince de Soubise (1715-1787) est l'initiateur de la construction du Colysée Royal et de l'aménagement de ses jardins.    

Charles de Rohan, Prince de Soubise, maréchal et pair de France, ministre d'Etat de Louis XV puis Louis XVI, gouverneur général de la Flandre et du Hainaut, gouverneur et grand bailli de Lille, dernier baron de Cysoing, fut un des plus riches seigneurs de France.

Intime de Louis XV et favori de la marquise de Pompadour puis de Madame Du Barry il jouissait de tous les plaisirs de la Cour. Libertin, mélomane et lettré, il fut souvent brocardé pour son incompétence militaire.

Retenons qu'il fit installer le premier kiosque à musique de France (d'origine ottomane et chinoise). Son hôtel parisien abrite aujourd'hui les Archives Nationales, rue des Francs-Bourgeois.

Le prince de Soubise voulut créer tout près de Lille un Waux-hall, encore mieux que celui du Colisée de Paris (1771-1780) dont il s'inspire en partie, avec des jardins en vogue à partir de 1770: des parcs à fabriques, jardins anglo-chinois, avec le style de l'architecture grecque antique, dite parnassienne.

 

Cette mode venait d'Angleterre: les Vauxhall Gardens étaient un établissement de plaisir avec un parc d'attractions, un lieu où l'on venait danser, discuter, s'amuser, faire des rencontres et se promener, loisirs réservés à la haute bourgeoisie et à la noblesse.

Un notaire lillois rachète en 1777 pour le compte du prince le domaine de la Pecquerie abandonné par les Jésuites, puis le fief de la motte Raineval. Ensuite les travaux commencent en 1786. Le prince de Soubise subit différents scandales et tombe en disgrâce à la fin de sa vie. Il meurt en 1787 à l'âge de 72 ans, peu avant l'inauguration du Colysée.

Les jeunes architectes François Verly et Louis Biarez aménagent le terrain humide où passait un bras de la Deûle, le Bucquet. Cascades, grottes, massifs de rochers, fausses ruines, étang, petits canaux, ponts, kiosques chinois, obélisques et pyramides, statues antiques, une ferme-laiterie (la ferme du Colysée a existé jusqu'aux années 1960, le restaurant La Laiterie existe toujours) et arbres exotiques sont installés dans l'esprit romantique français, ainsi qu'une « rotonde », et une salle de bal.    

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26 juin 2011 7 26 /06 /juin /2011 18:47

PRISUNIC.jpgLes années 60 sont porteuses d'espoir et de transformations. L'avènement d'une société de consommation succédant à une période de pénurie provoque autour des objets une unification des comportements et aussi une mutation profonde.

La maison est l'objet et le signe visible du changement.

Les intérieurs hérités du XIX° siècle sont visibles dans les photographies de Doisneau, le buffet Henri II trône bien dans toutes les maisons populaires ou bourgeoises. Les murs aux papiers à fleurs et le calendrier des postes ornent les intérieurs. L'eau n'est pas courante et c'est le décor de nombreuses familles populaires ou bourgeoises jusqu'en 1960.

Le début des années 60 marque un changement avec l'introduction du confort, la salle de bains, le chauffage central, la chambre des enfants avec leur mobilier spécifique, transformation qui annonce le rôle nouveau des jeunes dans la vie sociale.

Le living room correspond à un aménagement nouveau de l'appartement, il réunit la salle à manger, le salon et le cabinet de travail. Il s'impose avec ce néologisme anglais.

Le nouvel espace relègue la table familiale dans un coin à manger, la pénurie s'efface, les enfants font leurs devoirs dans leur chambre. Le salon accueille désormais un canapé et deux fauteuils, une table basse autour d'un tapis. L'espace devient un espace de loisir avec la télévision. Là se déroulent tous les rites sociaux, on y reçoit les amis, avec eux on boit l'apéritif, le whisky s'impose peu à peu, le réfrigérateur permet les glaçons, les biscuits salés sont indispensables.

Les nouveaux espaces de séjour sont des espaces de détente, les meubles sont déstructurés, les coussins s'accumulent.

Fort de cette dynamique de hausse du niveau de vie, d'une croissance continue de 30 années, les 30 glorieuses, les années 60 sont synonymes de prospérité. Et Prisunic va se lancer dans une expérience assez unique, de création d'un catalogue de mobilier par correspondance lancé en avril 1968. Il témoigne du bouleversement culturel que connaît la France et est l'emblème du renouveau de la consommation dans notre pays.

Le recours pour la première fois dans le domaine de l'ameublement à des personnalités créatives dont l'histoire culturelle retient des noms comme Marc held, Terence Conran, Marc Valdis, Danielle Quarante et Jean-Pierre Garrault. En ajoutant un mode de distribution novateur la vente par correspondance.

Les matériaux sont nouveaux, fibre de verre, mousse de polyuréthane, thermoformage, peintures laquées vives... Ils vont apparaître dans les films de la nouvelle vague, de Godard, chez Karl Lagerfeld...

Alors il faut aussi préserver et c'est le rôle du VIA, Valorisation de l'Innovation dans l'Ameublement. 

Jean-Marc Merlo Meyer est notre scénariste designer qui a travaillé sur la scénographie et la mise en valeur assez remarquable.

Une pleine page de la voix du nord a déjà évoqué le travail spectaculaire des services techniques et de l'équipe du service culturel pour que tout soit opérationnel aujourd'hui et ceci jusqu’au 28 août. Qu'ils soient ici tous remerciés pour la qualité de leur travail et l'excellence du rendu.

Cette exposition revisite le concept de droit au bonheur cher à de nombreux philosophes et érigé en principe dans la déclaration des droits aux Etats Unis. La France a créé un concept nouveau et le bonheur familial est présent dans cette exposition intimiste, les objets quotidiens, les salons évoquent un certain art de vivre. Le bonheur à la portée de tous. Même si aujourd'hui les critiques abondent contre cette conception individualiste, le bonheur serait devenu une injonction des sociétés contemporaines.

Eschatologique ou matérialiste, fait de grands idéaux ou de petits riens, le bonheur reste une aspiration. Que cette vision positive dans l'écrin que constitue ce Colysée donne un éclat royal aux meubles présentés.

Merci aux concepteurs, bonne dégustation de bonheur, bien entendu.

 

Programme des conférences, visites et ateliers pour enfants-parents … sur : www.lambersart-festiv.fr

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22 juin 2011 3 22 /06 /juin /2011 14:42

C'était dimanche, avec une parfaite organisation, une communication bien ciblée, un partenariat... tout y était pourIMG00151-20110619-1246 réussir cette troisième édition du pique nique sur les  berges de la Deûle avec à la clef un jeu qui se voulait inter-génération, inter-quartier.

 

C'était sans compter le temps, le mauvais temps. Jamais d'ailleurs, il n'a été question d'annuler et nous avons bien fait! Car sauf pour les mauvais "compteurs", les tables et non les nappes ont été occupées aux abords de la plage de Lambersart. Pas moins de six d'ailleurs, par des téméraires qui jusqu'au dernier moment se sont téléphonés pour confirmer qu'ils allaient participer. Et bien oui, ils sont venus écouter un concert du groupe Carte Vermeil et ses reprises rock des sixties.. - ce même groupe a fait d'ailleurs la une du quotidien régional, mardi avec une photo prise devinez où: à la guinguette! -. Et oui, ils sont restés pour manger et partager un moment convivial qui a fini vers les 15h par un temps tout à fait ensoleillé.

 

IMG00152-20110619-1326bDisons le, bravo à ces Lambersartois qui malgré le temps, sont sortis, sont restés pour partager ce moment d'animation. Une mention spéciale pour les artistes lambersartois qui tous les ans fidèlement répondent présents à l'invitation et aux membres du conseil de jeunes et de son animateur qui ont, à partir de 10 heures, assuré la permanence à la guinguette. 

 

Rendez vous dimanche prochain pour d'autres animations sur les berges de la Deûle, à l'Aréna et à la guinguette.

 

 

 

Programme sur www.lambersart-festiv.fr

A bientôt!

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12 juin 2011 7 12 /06 /juin /2011 17:58

sans_titre2_550_01.png...... le parc des Charmettes, déambulons dans les allées et redécouvrons en famille des jeux variés, des jouets, des  jeux anciens en passant par des jeux de société .

Les 3  ludothèques de la ville étaient fin prêtes pour votre plus grand plaisir : autour du thème « jouer c’est citoyen »,  un espace pour les tout petits était prévu et il n’a pas manqué d’attirer les bou’tchoux. Un stand artistique spécial  vous accueillait  pour peindre et travailler l’impressionnisme. Cette année le club de GO,  jeu de plateau très ancien né en Chine, proposait aux promeneurs une initiation qui se fait très rapidement.

Les jeux anciens ont encore fait mouche et le conseil des jeunes pouvait vous désaltérer à votre convenance. Au hasard de la balade on pouvait voir le parachute  pris en mains par les familles, les raquettes, et autres jeux sportifs comblaient les champions en herbe. Les Héraults de Lambert vous invitaient à découvrir leurs figurines peintes. 

Il y en avait vraiment pour tous les goûts autour du jeu pour le plus grand bonheur de tous.

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29 mai 2011 7 29 /05 /mai /2011 18:20

Felix_Couet.jpgFélix Louis Clouët des Pesruches (1838-1897) est né à Baisieux le 3/09/1838. Il entre à saint Cyr en 1855 et en sort sous-lieutenant au 2ème zouave en 1857. Il participe aux campagnes militaires de l’époque napoléonienne en Italie (1859) et au Mexique (1862).

 Décoré de la légion d’honneur en 1864, il est promu capitaine en 1867 et épouse en 1870 Marie-Antoinette Berthe Panon Desbassins de Richemont.

Capturé et prisonnier à Metz en 1870, il n’est libéré qu’en 1871 et poursuit sa carrière militaire en devenant lieutenant colonel en 1875 et prend sa retraite en 1880.

Il s’installe alors à Lambersart au château Saint Louis rue de la Carnoy, château néoclassique doté d’un superbe jardin où les essences d’arbre sont très variées dont le ginkgo biloba, arbre du bonheur. C'est là que naissent ses enfants, Louis en 1873 et Valentine en 1874.

Catholique fervent et militant, il devient vice-président de la seconde commission de l’assemblée générale des catholiques de la région en 1887, puis membre de la commission permanente de l’œuvre des écoles catholiques de Lille en 1889. Auparavant , il favorisa l’installation des religieuses de la congrégation des filles de la sagesse, rue de Lompret puis au financement de la construction de l’école de garçons Saint Joseph en 1882.

Républicain conservateur, adjoint de Alfred Becquart, il devient maire de Lambersart en mai 1892 jusqu’en 1897 date de son décès le 28 avril. En 1893, il prend l’initiative de faire construire un magnifique hôtel de ville, à l’angle de l’avenue de l’hippodrome et de la rue du bois sur un terrain concédé par monsieur Ory. Ce château éclectique est remarquable par son clocheton, son entrée majestueuse, son escalier imposant et sa salle de réception dont la cheminée porte des armoiries retrouvées au château de la seigneurie de Verghelle. Cette mairie est utilisée jusqu’en 1936. Outre l'opportunité du terrain, le glissement du centre municipal vers l'avenue de l'hippodrome correspond à la volonté du maire de faire de la cité, une ville prestigieuse.

Ce maire contribue financièrement à la reconstruction de l’église Saint Calixte en 1894. Félix Clouët des Pesruches est cité dans le rapport de la société Saint Vincent de Paul le 27 février 1898 comme un membre éminent et un homme « si discrètement généreux ». Il est également le premier maire dont nous ayons la photographie.


L'arrière petit fils de Félix, le général Clouët des Pesruches viendra en juin inaugurer la nouvelle plaque de la place avec l'ensemble de ses titres : Place Félix Clouët des Pesruches, maire et bienfaiteur de la ville de Lambersart 1892-1897.

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25 mai 2011 3 25 /05 /mai /2011 08:06

Ils sont partis vendredi de Lambersart pour la direction de Thérouanne pour retrouver leurs amis Anglais. Ils ontIMG00134-20110522-1316 déjeuné à Saint Laurent Blangy puis direction, l’après midi, du Val Joly. Samedi départ pour un itinéraire de 80 kilomètres concocté par les passionnés de la confrérie. Après une étape à Solre le château rendez vous de nouveau au Val joly samedi soir. C’est dimanche qu’ils ont repris la route vers Lambersart. La route et quelle route.. un itinéraire choisi pas trop difficile pour ces vieux clous qu’ils chouchoutent...  C’est aux environs de 13 heures que la Ferme du mont Garin s’est remplie de superbes machines, pièces de collection amoureusement entretenues.

Les Lambersartois connaissent bien les membres du bureau de l’association pour les rencontrer lors des différentes manifestations et expositions. Il est possible, à la vue de cette trente-quatrième édition, de confirmer que leur passion pour les motos anciennes est intacte, leur sens de l’accueil, de la convivialité et de l’organisation aussi. Avec une mention spéciale pour Jacqueline, elle se reconnaîtra !

Rendez vous l’année prochaine pour la 35ème édition où des surprises émaillées de temps forts se préparent déjà. Mais chut !

La Confrérie des Vieux Clous regroupent des amateurs de motocyclettes anciennes qui souhaitent pouvoir les restaurer avec un principe simple: « Aussi vieilles soient elles, elles sont faites pour rouler! »

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11 mai 2011 3 11 /05 /mai /2011 07:54

actu-popcornesLe groupement des petits musées a un projet de développement sur la thématique des 4 éléments et la ville de Lambersart a répondu favorablement à l'exposition d'objets en corne rassemblés par le musée du jouet ancien de Wambrechies.

C'est l'occasion de se replonger dans une époque pas si reculée que cela.

Les racines de la production d'objets en cornes sont lointaines. Beaucoup de paysans et de marins profitaient de la morte saison (hivers rigoureux, grands coups de tabac sur la mer) pour confectionner des objets de la vie quotidienne en corne ou nacre. La redécouverte du rivage et de ses bienfaits sous le second empire ont permis de lancer un tourisme balnéaire réservé aux riches dans un premier temps.

L'impératrice Eugénie, épouse de Napoléon III, favorise la fréquentation de station comme Biarritz, Deauville ou pour notre région Berck sur mer qui a toujours son avenue de l'impératrice. Les souvenirs de ces séjours peuvent ainsi se multiplier à la belle époque.

Le second temps du succès de ces objets est la découverte des congés payés et des déplacements à la mer. La démocratisation des vacances anime la production artisanale de ces objets, oiseaux marins, animaux, bateaux ornent les cheminées des ouvriers et employés des années 30.

L'apogée de ce commerce se situe en 1960 au moment où la concurrence du plastique se fait sentir. La mondialisation achève la production artisanale. Il subsiste de magnifiques objets susceptibles d'intéresser toutes les générations pendant la période des congés d'été. Venez vous replonger dans l'ambiance des bains de mer!

 

Pop cornes au château Bonte, rue de la Carnoy, jusqu'au 31 août !

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6 mai 2011 5 06 /05 /mai /2011 15:37

leprince-bandeau 

Même en prenant l'aphorisme d'Alphonse Allais comme symbole, "il ne suffit pas d'avoir du talent, encore faut-il savoir s'en servir!".

C’est l’émotion qui a permis de bâtir un projet artistique à la mesure du lieu symbolique que constitue le Colysée de Lambersart autour et avec les œuvres de Louis Leprince-Ringuet et sa famille.

Le premier objectif était de retracer, 11 ans après la disparition de Louis, un itinéraire scientifique et culturel. Ce personnage médiatique, sportif accompli, scientifique rigoureux non replié sur sa discipline mais soucieux surtout de transmission et de vulgarisation de la pensée scientifique.

 

Plusieurs générations de talents sont représentées en effet :

- Ses fille et belle fille, Bénédicte de la Roncière et Betty Leprince-Ringuet associent la peinture, l'illustration et la photographie. Livres pour la jeunesse, élégies à la nature sont le quotidien de ces créatrices.

- Ses petites filles, Guillemette de Williencourt et Agnès de la Roncière développent leur talent dans la sculpture et la peinture avec la même réussite.

- La troisième génération est présente avec Clément Devaux, illustrateur pour la jeunesse dont le talent est visible dans les albums de la collection Bayard ou Nathan...

 

« La beauté attire la beauté, en ce sens qu'une expérience de beauté rappelle d'autres expériences de beauté précédemment vécues, et dans un même temps, appelle d'autres expériences de beauté à venir... Nostalgie et espérance confondues, chaque expérience de beauté rappelle un paradis perdu et appelle un paradis promis  ». François Cheng

 

La beauté est cause de joie pour toujours, alors remercions nos artistes réunis afin que la joie demeure. Dans le cas présent et vous pourrez le constater, oui le talent se transmet de génération en génération!

 

Exposition à voir au Colysée jusqu’au 29 mai, sans oublier les traditionnels ateliers parents-enfants, conférence et espace vidéo.

 

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20 avril 2011 3 20 /04 /avril /2011 15:56

news_heili.jpgEn l'église Saint Calixte, un public averti a accueilli 150 choristes issus de la région Nord Pas de Calais.

 

Multiphonie est le lien entre 60 chorales qui ont pour but de développer le chant choral dans la région. Subventionnée par le conseil régional et le conseil général, l'association est venue pour la première fois à Lambersart dans un édifice qui répond bien aux exigences du chant choral.

 

Le répertoire romantique de Brahms et Mendelssohn est un répertoire exigeant et rigoureux. Chaque choeur mené de main de maestro a répondu magnifiquement aux harmonies du XIX° siècle.

 

3 maîtres de chœur et un organiste ont rempli leur mission, conquérir un public, présenter une variété d'œuvres et mettre en valeur le travail de chacun.

 

Une belle réussite à Lambersart!

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